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Articles de Presse
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Retour Sommaire
/ Articles Presse
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2007
(Partie 1) |
Partie 1
- Partie 2 |
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Breizhoo.fr
- 15 février 2007
Le BPC Tonnerre
quitte Brest |
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Le
nouveau bâtiments de projection et de commandement
de la Marine nationale va rejoindre sa base à
Toulon.
Avec son sister-ship, le
Mistral, Le Tonnerre est la
deuxième unité de la flotte en tonnage derrière le
porte-avions. Les BPC sont longs de 199 mètres, ils
déplacent 21 300 tonnes. Ils combinent sur une
plate-forme unique les fonctions de
porte-hélicoptères, d’hôpital flottant, d’assaut
amphibie, de transport de troupes et de navire de
commandement. Capacité d'emport : 450 soldats, 59
blindés, 16 hélicoptères et quatre chalands de
débarquement. Particularité de ces bateaux : les
Chantiers de l'Atlantique (ex groupe Alstom) ont
construit une partie des deux coques à Saint-Nazaire
avant de les livrer pour assemblage à Brest. Coût
global du programme : 570 millions d'euros.
La livraison du Mistral avait connu un retard
de six mois sur les prévisions. Explication
principale : des difficultés dans le prototypage du
Senit 9, le système électronique qui assure
l'assistance au combat et la gestion automatique des
cibles. Avant son admission au service actif, Le
Tonnerre va lui aussi devoir valider ses
calculateurs de combat. Viendra ensuite un périple
passant par Terre Neuve, Rio de Janeiro et Dakar. |
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par JMP
le 15/02/2007 |
Sources :
ICI |
Mer et Marine - 14
février 2007
Après huit mois de
prolongations à Brest pour cause de réparation des sols
défectueux de sa partie avant, réalisée à Saint-Nazaire, le
Tonnerre doit quitter la Bretagne aujourd'hui. Le Bâtiment
de Projection et de Commandement, sistership du Mistral,
livré en février 2006 à la Marine nationale par DCN,
rejoindra son port base, Toulon, où son arrivée est attendue
à partir du 20 février. Le navire devrait être admis au
service actif cet été et remplacer le transport de chalands
de débarquement Orage, âgé de 39 ans. D'une longueur de 199
mètres pour un déplacement de 21.500 tonnes en charge, les
BPC du type Mistral sont les plus grands navires amphibies
européens (jusqu'à l'admission au service actif du BPE
espagnol, en 2008). Les capacités d'emport son
particulièrement importantes, avec 16 hélicoptères lourds
(NH 90 et Tigre) ou plus de 30 hélicoptères légers (type
Gazelle), une centaine de véhicules (dont 13 chars lourds
Leclerc) et 450 hommes de troupe (900 pour une courte
durée). Côté amphibie, le radier des BPC est conçu pour
accueillir quatre chalands de débarquement (LCM) ou deux
engins sur coussin d'air du type LCAC américains. Le Mistral
ou le Tonnerre mènera d'ailleurs cette année des essais de
qualification de ces engins avec le concours de l'US Navy.
Depuis la livraison du Mistral, de nombreux pays se sont
montrés intéressés par le concept du BPC. A l'export, DCN
propose désormais quatre variantes, de 14.000 à 27.000
tonnes. Le groupe, allié à ADI (filiale de Thales), espère
décrocher un contrat d'environ un milliard de dollars avec
l'Australie. Le pays, qui souhaite acquérir deux grands
navires amphibies, doit faire son choix cette année entre le
BPC français et le BPE espagnol présenté par Navantia. Les
offres commerciales ont été remises à Canberra fin 2006.
Source :
ICI |
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Édition du 23
février 2007
Le plancher du Tonnerre
ne fait plus de bulles
Un problème de ciment, sous 8 500 m2 de
planchers, a retardé de huit mois la
livraison du BPC. Il devrait quitter
Brest pour Toulon après quelques essais.
Après avoir enduré le feuilleton des
déboires du Charles de Gaulle,
c'est un bête avatar dont DCN se
serait bien passé. La mauvaise
surprise était tombée en juin
dernier, au moment de la livraison
du Tonnerre : sur le nouveau
fleuron de l'intervention armée
française en zone de conflit
(capacité de commandement
décentralisé et de débarquement de
troupes et d'engins) le sol en
linoléum faisait des bulles !
L'expertise avait démontré qu'il
s'agissait d'un problème au niveau
du ciment de ragréage, appliqué sur
les sols et sous traité auprès des
Chantiers de l'Atlantique à
Saint-Nazaire. Il a donc fallu huit
mois de travaux, pour tout défaire,
enlever le mobilier, piquer le
ciment, le recommencer et refaire
les peintures. Ainsi, à Brest,
environ 130 personnes se sont
relayées jour et nuit sur 8 500 m2
de planchers. C'est plus grand que
la surface d'un terrain de
football !
Les travaux, sous maîtrise d'ouvrage
de DCN, ont été réalisés par Aker
Yards, repreneur des Chantiers de
l'Atlantique. Ils se sont achevés en
fin de semaine dernière. Et le
Tonnerre a enfin pu reprendre la
mer lundi midi pour quelques jours
d'essais.
Image de DCN écornée
Selon DCN, il s'agit d'une « remise
en condition de l'équipage ».
En effet, lors des précédents essais
au printemps dernier, « tous
les équipements avaient déjà été
validés ». Pour les 160
marins embarqués, il s'agit donc
d'une prise ou reprise en main de
l'outil qui devrait enfin être livré
à la Direction générale de
l'armement (DGA). Le transfert vers
Toulon, son port d'attache est
toujours escompté pour fin février.
« J'attends les résultats
des essais pour confirmer »,
note toutefois prudemment Jean-Marie
Daviron, chargé de la communication
à DCN Brest.
Qui paiera le surcoût de plusieurs
millions d'euros ? « Les
assurances », selon DCN,
qui en octobre dernier, estimait :
« Il n'y a pas de problème
financier, la rentabilité du
programme n'est pas mise en cause. »
Toutefois, son image a été écornée,
en pleine période où DCN comptait
mettre en avant la performance de
son nouveau statut d'entreprise
privée. « Les démarches de
conciliation sont en cours »,
se contente d'indiquer Jean-Marie
Daviron. La DGA, qui déplore un
important retard de livraison
pourrait aussi déduire des
pénalités.
Rappelons que le Mistral, le
premier bâtiment de projection et de
commandement de cette série de deux,
avait déjà subi plusieurs mois de
retard, alors mis sur le compte de
son aspect « prototype ». Autrement
plus complexe que des bulles dans le
lino, il s'agissait alors d'un souci
de compatibilité des différents
matériels électroniques du système
de combat. Le bateau a finalement
été livré en mars 2006, sans que le
problème soit résolu. Des tests
devaient encore avoir lieu fin 2006.
Bien qu'il ait déjà effectué une
opération humanitaire au Liban, il
n'est toujours pas accepté au
service actif. Souffrant également
de problèmes de revêtements de sol,
le Mistral sera à son tour
prochainement en chantier. À Brest
ou Toulon ? La question n'est pas
encore tranchée.
Sébastien PANOU.
Copyright Ouest-France - Article
original :
ICI
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Après quelques
jours d'essais en mer, le Bâtiment de projection et de
commandement (BPC) Tonnerre, 200 mètres de long pour 21 000
tonnes, pourrait être convoyé jusqu'à Toulon, son futur port
d'attache, fin février. Lui et son prédécesseur Mistral
représentent un budget de construction de 650 millions
d'euros.
VAR Matin
5 mars
Var matin
12 avril
Poster des 2 BPC
"Armaris"
Format PDF
Source :
ICI |
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Marine Nationale / Source :
ICI
25/04/07
Le
Tonnerre dans les brumes de Saint Pierre et Miquelon
Le bâtiment de projection et de
commandement (BPC) Tonnerre a fait escale à Saint
Pierre et Miquelon le samedi 21 avril 2007, où il a été
accueilli par les bancs de brume tout à fait propres à
l’archipel en cette saison. Débutant sa traversée de longue
durée, le navire venait de quitter la métropole et
effectuait sa première escale. Le passage à Saint Pierre et
Miquelon consacrait ainsi un lien étroit entre Saint Pierre
et la Marine nationale, souligné respectivement par le
commandant et le Préfet de l’archipel, depuis le ralliement
spontané aux forces navales françaises libres de l’amiral
Muselier. Les militaires du BPC et du patrouilleur de la
gendarmerie maritime Fulmar ont pu se rencontrer et
visiter chacune des deux unités, avec une curiosité pour les
moyens et les missions partagées par chacune des parties. |
Marine Nationale / Source :
ICI
02/05/07
Du 23 au 27 avril 2007, la
silhouette imposante du bâtiment de projection et de
commandement (BPC) Tonnerre dans l'arsenal d’Halifax
n'a pas dépareillé dans la ligne de gratte-ciels qui bordent
le front de mer de cette cite tournée vers l'océan. Et la
ville entière ne pouvait ignorer la présence du Tonnerre
au coeur même de la capitale de Nouvelle-Écosse. Transition
idéale entre une courte escale à Saint-Pierre et Miquelon et
le prochain arrêt du Tonnerre à Norfolk, cette
première escale à l'étranger du a suscité un réel engouement
et plusieurs échanges avec le bâtiment hôte, la frégate
francophone HMCS Ville de Québec, ont permis de
mesurer tout le sens de l'accueil et la sympathie des marins
canadiens.
Copyright Marine Nationale |
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Cols Bleus - 5/12 mai
2007
Remerciements
Dominique Duriez |
Cols Bleus - 19 mai
2007
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21 mai 2007 - Essais d'enradiage de LCAC réussis
pour le BPC Tonnerre
Au cours d'essais
conduits du 7 au 12 mai au large de Norfolk (États-unis), le
bâtiment de projection et de commandement Tonnerre a
enradié, pour la première fois, un engin américain du type
Landing Craft Air Cushion. Ce gros hydroglisseur d'une
longueur de 27 mètres pour une capacité d'emport de 70
tonnes (ou un char lourd) est utilisé par les navires
amphibies de l'US Navy. Nettement plus rapides que les
chalands de débarquement traditionnels, les LCAC peuvent
atteindre la vitesse de 54 noeuds (40 noeuds en pleine
charge). Dès leur construction, les BPC français ont été
conçus pour pouvoir embarquer ce type d'engins. Bien que la
Marine nationale n'ait pas encore manifesté son intention
d'acquérir des LCAC, cette capacité offre une possibilité
supplémentaire d'interopérabilité avec la flotte américaine.
Les dimensions du radier des BPC du type Mistral, de 57.5
mètres de long pour 15.4 mètres de large, permettent
d'abriter quatre chalands ou deux LCAC. Un système de
ventilation très puissant a été installé dans cet espace,
afin d'éviter une surchauffe consécutive au dégagement des
turbines des hydroglisseurs. Ce détail revêt une grande
importance, d'autres essais menés avec des bâtiments
amphibies étrangers s'étant soldés par des débuts
d'incendies, faute de ventilation suffisante.
La campagne menée par le Tonnerre avec des unités de la 2ème
flotte US fut également l'occasion de rester le spot avant
du navire, conçu pour accueillir des hélicoptères de plus de
30 tonnes.
Appontage d'un Super Stallion américain
La capacité a été validée grâce à l'appontage d'un MH-53E
Super Stallion. Cette interopérabilité avec les moyens
américains et plus généralement avec ceux de l'OTAN est un
argument commercial de poids pour DCNS, qui cherche à
exporter le BPC, proposé dans quatre versions, de 14.000 à
27.000 tonnes. Le concept intéresse plusieurs pays, dont
l'Australie, l'Afrique du Sud, l'Allemagne, le Canada, la
Malaisie et la Suède. L'Australie, qui souhaite réaliser
deux navires amphibies, doit choisir cet été entre le BPC
français et le BPE espagnol.
Livré le 28 février par DCNS, le Tonnerre poursuit sa
Vérification des Capacités Militaires (VCM), autrefois
appelée traversée de longue durée. Partis le 10 avril de
Toulon, le navire a escalé au Canada puis aux Etats-Unis. Il
est attendu en Martinique puis se rendra au Brésil, en
Afrique du sud et au Sénégal, avant de retrouver sa base
varoise fin juillet.
D'une longueur de 199 mètres pour un déplacement de 21.500
tonnes en charge, le Tonnerre est la seconde unité du type
Mistral. Réalisé par DCNS et Aker Yards (pour la partie
avant), ces bâtiments peuvent transporter 450 hommes de
troupe, quatre engins de débarquement, 16 hélicoptères
lourds et 70 véhicules, dont 13 chars Leclerc. Le Mistral a
pris la suite du transport de chalands de débarquement
Ouragan et le Tonnerre remplacera l'Orage.
Source : Meretmarine
/
ICI |
Var Matin
22 mai 2007
Succès des essais du BPC Tonnerre
Le
savoir-faire de DCNS au service de la projection
internationale
Paris, le
23 mai 2007
Du 10 au 13 mai
2007, au large de Norfolk (Virginie, USA), la Délégation
Générale pour l'Armement (DGA) et la Marine nationale
avec le concours de DCNS, ont effectué avec succès une
campagne d'essais du BPC Tonnerre à la mer avec des
unités de l'US Navy. La plate-forme BPC a ainsi été
officiellement validée comme étant capable d'accueillir
dans son radier*, les engins de débarquement américains
sur coussin d'air Landing Craft Air Cushion (LCAC) et
sur le spot n° 1 du pont-hélicoptère, les hélicoptères
lourds américains MH 53 E Super Stallion.
DCNS a pu
démontrer la performance du système qu'il a développé
spécifiquement pour refroidir les gaz d'échappement du
LCAC pouvant atteindre plusieurs centaines de degrés.
Les mesures effectuées conjointement par les ingénieurs
américains et français ont été conformes aux calculs
prévisionnels. Le bâtiment n'a subi aucun dommage et
est resté dans son état initial.
DCNS, maître
d'œuvre du projet BPC, concepteur et réalisateur, a
montré sa capacité à intégrer tout type d'engins y
compris ceux qui ont des impacts majeurs sur
l'architecture d'ensemble ainsi que sur les
sous-systèmes. Ceci forme un atout majeur à l'heure ou
les besoins en bâtiments de projection vont se
développer auprès des marines étrangères : Australie,
Afrique du Sud, Brésil, Canada, Malaisie.
La flotte des
BPC français a montré un potentiel d'interopérabilité
inédit à l'heure actuelle en Europe.
Caractérisés par
leur grande capacité d'emport et un équipage réduit de
160 personnes, ces premiers bâtiments de la Marine
nationale construits selon des normes civiles permettent
également d'effectuer des missions humanitaires telle la
première mission au Liban de son sistership le BPC
Mistral.
Pour mémoire, le
BPC Tonnerre a été livré à la Marine nationale en
février dernier après avoir été réceptionné par la
Délégation Générale pour l'Armement (DGA).
Source :
DCN
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Cols
Bleus - 26 mai 2007
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Le
Télégramme de Brest
24 mai 2007
Essais concluants au
large de Norfolk.
La délégation
générale pour
l’armement (DGA), la
Marine nationale et
DCNS ont effectué
avec succès une
série de tests du
BPC Tonnerre
au large de Norfolk
aux États-Unis. La
plateforme française
a démontré sa
capacité à embarquer
tout type
d’appareils de l’US
Navy comme des
engins sur coussin
d’air Landing craft
air cushion (LCAC)
ou des hélicoptères
lourds comme le MH
53 E super stallion.
Un vrai gage
d’interopérabilité
qui devrait faire de
DCNS, maître d’œuvre
du BPC, un acteur
incontournable
auprès des marines
étrangères.
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TERRE
Information Magazine / Mai 2007
L'interarmées comme mot d'ordre
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Marine Nationale /
30 mai 2007 / Site web
Le
Tonnerre en mers chaudes
Après avoir quitté
les eaux froides d'Amérique du nord, le bâtiment de
projection et de commandement (BPC)
Tonnerre a rejoint les eaux chaudes de la Caraïbe et
se dirigera bientôt vers celles de l'hémisphère sud. Cette
troisième étape de son périple qui succède à ses tests
d’interopérabilité avec les américains est placée sous
l'angle de la coopération. «Coopération avec les forces des
pays d'Amérique du sud et coopération avec les forces de
souveraineté» selon son commandant. Le 24 mai dernier, le
BPC a réalisé un exercice amphibie inédit avec les forces
armées des Antilles en Martinique sur la plage du Carbet.
A l'aube, 200
marsouins du régiment amphibie de Martinique, le 33ème
régiment d'infanterie de Marine basé au Fort Desaix
embarquent à son bord découvrant le saut technologique de
cette nouvelle génération de bâtiments. Habitués à plus de
rusticité, les soldats n’en finissent pas de s’étonner de
l’espace de vie qui leur est réservé. Cet étonnement est
encore plus significatif chez nos voisins centre américains
de la conférence des forces de l’Amérique centrale
(organisation sous régionale de sécurité) regroupant le
Guatemala, le Costa Rica, le Honduras et le Nicaragua,
représentés pour la circonstance par une section insérée
dans le régiment de Martinique. Cet entraînement est
également l’occasion pour les autres composantes des forces
armées des Antilles de tester leurs procédures.
Successivement les
hélicoptères de l’armée de l’air (Puma et Fennec),
de la gendarmerie (Écureuil) et le Panther du
Ventôse, assurent une noria en direction du BPC pour
profiter de cette occasion exceptionnelle.
Du 25 au 28 mai, le
BPC a profité de son escale à Fort de France pour recevoir
les autorités locales et leurs présenter toutes les facettes
du spectre de missions qu’il pourrait être amené à conduire
dans la région.
Copyright Marine Nationale /
Source album |
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Réception à la mairie de Fort de
France
Le
1er adjoint au Maire, Raymond SAINT LOUIS AUGUSTIN
Et le Capitaine de vaisseau
Philippe HELLO, commandant du « Tonnerre » lors de l’échange
de cadeaux
C’est un très beau
bâtiment que les martiniquais ont pu voir dans la rade de
Fort-de-France puis au Bassin Radoub. Le Bâtiment de
Projection et de Commandement (BPC) Tonnerre, un
porte-hélicoptères d'assaut
pouvant embarquer jusqu'à 16 hélicoptères est arrivé dans
nos eaux après avoir quitté Toulon pour une vérification de
ses capacités militaires en Atlantique. Ce rodage durera
trois moisavant que le vaisseau soit définitivement admis au
service actif.
Grâce à ces
capacités amphibies,
il peut participer à l’exécution d’une
opération aéromobile à
partir de la mer, en vue, par exemple, d’une
évacuation de ressortissants, ou effectuer le transport et
le débarquement d'un escadron de 40 chars Leclerc.
C'est aussi un véritable
hôpital de plus de 50
lits. Enfin, il peut servir de
bâtiment de commandement.
Sa disponibilité sera de 350 jours par an, avec un équipage
de 160 personnes.
Lors de son escale à
Fort-de-France, le commandant du navire, le capitaine
Philippe HELLO a tenu
à rendre visite au Maire de la Ville- Capitale.
Reçu par le 1er
adjoint, les deux hommes ont longuement discuté du navire et
de ses futures attributions. En effet, le BPC Tonnerre
hébergera bientôt le QG de la force d’intervention rapide de
l’OTAN.
Raymond SAINT LOUIS AUGUSTIN
a offert au nom du Maire un ouvrage sur l’œuvre
d’Hector Charpentier, quand au
Commandant HELLO, il
a remis au Maire le Blason du navire.
Source -
Mairie de Fort de France |
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Journal Local / 29 mai 2007
France - Antilles
Remerciements Yvon Perchoc |
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