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2007

 

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Janvier 2007

Remerciements Benoit Floch

 

Article VAR Matin

  

 

24 février 2007

 

Marcophilie

Remerciements Pascal Varin

Communiqué Marine Nationale - 26 février 2007

Le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre a franchi, le 23 février dernier, les passes de son port d’attache, Toulon. Commandé par le capitaine de vaisseau Philippe Hello, il y a rejoint son sistership le BPC Mistral. Dans les semaines à venir, le Tonnerre poursuivra son entraînement entamé depuis son départ, le 14 février, du chantier de la Direction des constructions navales (DCN) de Brest. A l’issue, la délégation générale pour l’armement (DGA) donnera son accord pour son transfert à la Marine. Le BPC quittera alors Toulon pour une vérification de ses capacités militaires (VCM) en Atlantique durant trois mois avant d’être définitivement admis au service actif à l’été.

Message original et photos : ICI

Enveloppe souvenir / 14 février 2007

Départ de Brest pour Toulon

Source : Delcampe

 

Arrivée Toulon - Rade des vignettes !

21 février 2007

 

Vidéos Arrivée BPC Tonnerre

22 février 2007 - Toulon

Articles du Télégramme de Brest

15 février 2007

 

  

 

Articles du Télégramme de Brest - 15 février 2007

 

15 février 2007 - Le Télégramme de Brest

Tonnerre. Le départ du « couteau suisse »

13 h 15, hier : le BPC Tonnerre (Bâtiment de projection et de commandement), un navire polyvalent, franchit la pointe Saint-Mathieu pour rejoindre Toulon, son port d’attache. « C’est à la fois un pincement au cœur et un aboutissement », commente Dominique Sennedot, directeur du projet. Le Tonnerre disparu à l’horizon, Brest n’a plus de constructions neuves à se mettre sous la dent. Le second porte-avions ? « S’il se fait, on le verra à Brest, des équipes brestoises auront des travaux à faire », assure Gérard Solve, directeur de DCN Services Brest. Un établissement de 2.700 salariés qui travaillent essentiellement aujourd’hui à l’entretien des navires de surface et les sous-marins.

A l’œil, le Tonnerre ressemble, avec l’arrière coupé, à un ferry militarisé. Certains l’ont aussi comparé, pour sa polyvalence, à un « couteau suisse ». Le premier nom des BPC (Bâtiment de projection et de commandement) a, d’ailleurs, été BIP (Bâtiment d’intervention polyvalent). Ces navires, les plus gros de la Marine après le porte-avions Charles-de-Gaulle, sont, en fait, le reflet d’enjeux qui ont changé. Il s’agit de projeter des forces, d’assurer leur soutien, de réaliser des évacuations. Le Mistral l’a montré l’été dernier au Liban, une mission d’ailleurs effectuée alors qu’il n’était pas encore admis au service actif, ce qui a été fait depuis.

Le PC de commandement, largement dimensionné, ressemble à des bureaux à terre, avec des cloisons modulables. Sous les pieds, 750 prises de réseau sont disponibles et 125 personnes, de divers états-majors, peuvent y travailler. Un aspect important dans un contexte d’opérations souvent internationales. Le radier du BPC accueille petits et gros engins, de la jeep au char Leclerc. Deux aéroglisseurs américains peuvent s’y loger, de grosses « bêtes », une qualification importante dans le cadre d’une force Otan, en même temps qu’un argument à l’export. Le radier peut aussi abriter quatre chalands de débarquement. Des véhicules ont accès à un premier étage, au dessus. Et côté aviation, des hélicoptères lourds, comme le NH 90, ont déjà fréquenté le Mistral.

L’hôpital s’étend sur 750 m², une surface qui peut être multipliée par deux avec l’apport de matériels de campagne.

Les couloirs du Tonnerre sont larges : les militaires doivent y passer avec leur sac à dos et armes. La cuisine, capable de proposer deux fois 600 repas par jour, ressemble à celle d’une collectivité. Et l’écart de confort entre les lieux de vie et les chambres, en fonction de la hiérarchie, a été réduit. Le BPC, le premier navire militaire français de type « tout électrique », est largement automatisé. L’équipage est de 160 personnes quand le transport de chalands de débarquement Siroco, la génération précédente, en comptait 235. Le Tonnerre est aussi plus important (21.500 tonnes, contre 12.000) et sera davantage disponible à la mer.

Autre changement, fondamental par rapport à la pratique passée : les BPC ont fait l’objet d’une approche partagée, DCN et ex-Chantiers de l’Atlantique. Le résultat - et c’est une première - en fait des navires aux standards civils avec des spécificités militaires. Nouveauté également : les deux BPC ont fait l’objet d’un seul contrat, avec un délai de fabrication plus rapide que précédemment. Le Tonnerre satisfait à plusieurs normes : Veritas (conception et construction), Solas (transport de passagers) et Marpol (antipollution). Il compte également une belle salle de gym et même - signe des temps -, une salle de presse.

15 février 2007 - Le Télégramme de Brest

Marine. Tonnerre de Brest !

Comme l’a fait le Mistral, le BPC Tonnerre (Bâtiment de projection et de commandement) quitte Brest aujourd’hui pour Toulon, son port d’attache, où il est attendu le 23 février.

Un départ qui ne laissera pas insensibles les équipes brestoises de DCN Services impliquées dans le programme, dont Gilles Guiganton (ci-dessus), chef de projet production depuis mai 2000. Hier, le Tonnerre, dont le revêtement du sol des locaux de vie de la partie avant a été refait, a été présenté à l’acceptation de son client, la DGA (Direction générale de l’armement), qui a un mois pour se prononcer. Le Tonnerre parti, DCN Services Brest n’a plus de constructions neuves en commande. Même si ce chantier tourne aujourd’hui à 75 % avec de la maintenance en condition opérationnelle de navires, le devenir des constructions neuves se pose. Brest lorgne ainsi du côté du second porte-avions, dont l’avenir est très politique. S’il se fait, Brest pourra faire valoir sa spécificité en intégration de gros navires.

 

 

 

15 février 2007

Ouest-France

 

 

 

14 février 2007

Le télégramme de Brest

 

15 février

Le Tonnerre a mis cap au sud

Construit par DCN à Brest, il a appareillé hier pour rejoindre son port d'attache, Toulon. De gros navires militaires sortiront-ils encore de l'ex-arsenal ?

Avec ses 21 000 tonnes, ses 199 m de long et sa massive silhouette grise, le Tonnerre en impose. Hier, il a quitté le port militaire de Brest, où il a été construit, pour rejoindre Toulon, son futur port d'attache. Il devrait y arriver d'ici une semaine. « La Marine sera fière de recevoir ce bateau », prédit Gérard Solve, directeur de DCN Services Brest, le constructeur. Seul le porte-avions Charles-de-Gaulle affiche un tonnage supérieur.

Le Tonnerre peut transporter 450 hommes de troupe, 16 hélicoptères lourds et quatre chalands de débarquement. Bâtiment de projection et de commandement (BPC), il est doté d'un hôpital de pointe. Livré voici un an, son frère jumeau, le Mistral, a subi son baptême du feu pendant l'été 2006 au Liban, évacuant plusieurs centaines de Français de la zone de combat.

Le programme des BPC représente un montant total de 650 millions d'euros. DCN en a sous-traité une part importante. Les Chantiers de l'Atlantique, à Saint-Nazaire, ont construit la partie avant des deux navires. Certains blocs constituant la partie arrière ont été réalisés en Pologne. Ce montage industriel a permis de réduire les coûts de 30 %. Du jamais vu à DCN. Mais cela fait aussi grincer des dents chez une partie du personnel, qui ne comprend pas la raison de ces « délocalisations ».

Le programme a connu quel-ques aléas. La mise au point des systèmes de communication et de détection s'est révélée ardue. D'importantes malfaçons ont aussi été constatées sur la partie avant des deux navires. La reprise des défauts sur le Tonnerre a mobilisé 150 personnes pendant six mois, en majorité venues d'Aker Yards, nouveau nom des Chantiers de l'Atlantique. A compter de juin, le Mistral reviendra à Brest pour subir le même traitement. Une expertise judiciaire est en cours pour déterminer les responsabilités. Les assureurs régleront la facture.

La construction du Mistral et du Tonnerre a représenté 2 millions d'heures de travail pour DCN Brest (2 700 salariés). Reste à savoir s'ils ne représentent pas un chant du cygne pour l'ancien arsenal d'État. La commande du second porte-avions n'est pas acquise. Les syndicats disent craindre pour l'avenir de la construction neuve. La direction de DCN assure qu'aucune menace sérieuse ne pèse sur l'emploi. Elle souligne que la maintenance des navires, en particulier des sous-marins nucléaires, pèse 75 % de l'activité.

Mais tout n'est pas affaire de chiffres. La Marine est fière de recevoir des « bateaux gris ». Les Brestois, eux, sont fiers de les construire.

Olivier MÉLENNEC.

15 février 2007 - Ouest-France

Hier, le deuxième BPC a mis cap au sud pour rejoindre son port d'attache.

Le Tonnerre a quitté Brest hier vers 13 h 15. Direction Toulon où il devrait arriver d'ici une semaine. La manoeuvre s'est déroulée sans incident. Grâce à son système de « pods » électriques orientables, le Bâtiment de projection et de commandement (BPC) s'est détaché sans aucune aide du quai où il était amarré. Profitant d'une fenêtre météo favorable, il a franchi les passes du port militaire. Compte tenu de sa prise au vent, il fallait une accalmie pour effectuer cette manoeuvre en toute sécurité. La traversée ne s'annonce pas de tout repos. Dès son entrée dans le golfe de Gascogne, le Tonnerre devrait affronter du mauvais temps.

Une centaine de salariés de DCN ont profité de la pause déjeuner pour assister à l'appareillage du Tonnerre. Mais aucun discours n'a salué ce départ qui signifie la fin du programme des Bâtiments de projection et de commandement. Le Tonnerre rejoint à Toulon le Mistral, livré à la Marine voici un an. Mardi, à Paris, DCN a présenté le navire à l'acceptation de la Direction générale de l'armement (DGA), c'est-à-dire au ministère de la Défense. Celle-ci a un mois pour se prononcer. « Si tout se passe bien, le navire sera propriété de la Marine début mars », indique-t-on à DCN.

Le Tonnerre aurait dû quitter Brest pour Toulon en juin 2006. La découverte d'importantes malfaçons sur la partie avant, réalisée aux Chantiers de l'Atlantique, à Saint-Nazaire, ont retardé ce départ. Le ministère de la Défense a refusé d'accepter le bateau en raison des boursouflures du revêtement de sol. Une réaction chimique indésirable s'était produite dans le ciment de ragréage. Il a fallu enlever tout le mobilier, casser les sols, les refaire et poser un nouveau linoléum. Ce « chantier pharaonique » a occupé 150 personnes, principalement de Aker Yards, repreneur des Chantiers de l'Atlantique, pendant sept mois. Victime des mêmes maux, le Mistral devrait revenir à Brest au mois de juin pour subir le même traitement.

Une expertise judiciaire est en cours pour déterminer les responsabilités. Les assureurs régleront la facture. « L'analyse est assez compliquée, indique Gérard Solve, directeur de DCN Services Brest. L'un des produits utilisés n'avait pas les qualités requises. Apparemment, aussi, l'application ne s'est pas faite suivant les règles de l'art. »

Une fois à Toulon, le Tonnerre entamera son programme d'essais à la mer en vue de son admission au service actif. Il partira vers la mi-avril pour une traversée de longue durée qui devrait durer jusqu'à la fin juillet. Cette navigation se déroulera en eaux froides alors qu'elle avait eu lieu en eaux chaudes pour le Mistral.

 

22 janvier

Le Bâtiment de Projection et de Commandement (BPC) Tonnerre doit appareiller aujourd'hui de Brest pour cinq jours d'essais en mer. Le navire était immobilisé depuis plusieurs mois en raison des travaux de réfection des sols de la partie avant. Cette section avait été réalisée par les ex-Chantiers de l'Atlantique, à Saint-Nazaire, avant d'être remorquée à Brest et soudée à moitié avant, assemblée par DCN. Suite à la découverte d'un problème dans le ciment de ragréage, 8500 m2 de planchers ont été refaits, une opération très lourde qui a notamment nécessité le démontage des meubles. Le chantier s'étant achevé en fin de semaine dernière, le Tonnerre et son équipage vont enfin pouvoir quitter la Bretagne pour rejoindre Toulon, leur port d'attache. Les essais mer prévus cette semaine permettront aux marins de reprendre en main le navire après une longue période d'inactivité à quai. Le transit vers la Méditerranée est, quant à lui, toujours prévu mi-février. A l'issue des travaux de réfection des sols et de leur acceptation par DCN et la Délégation Générale pour l'Armement, les assurances devraient se baser sur les rapports d'experts pour déterminer les responsabilités dans cette affaire. Le coût des travaux est estimé à plusieurs millions d'euros. Le Mistral, touché lui aussi mais moins gravement que son sistership, sera réparé ultérieurement, sans doute au second semestre. A cette occasion, le bâtiment devrait retrouver la rade de Brest.

Copyright Site Mer et Marine - Article original

14 février

Après huit mois de prolongations à Brest pour cause de réparation des sols défectueux de sa partie avant, réalisée à Saint-Nazaire, le Tonnerre doit quitter la Bretagne aujourd'hui. Le Bâtiment de Projection et de Commandement, sistership du Mistral, livré en février 2006 à la Marine nationale par DCN, rejoindra son port base, Toulon, où son arrivée est attendue à partir du 20 février. Le navire devrait être admis au service actif cet été et remplacer le transport de chalands de débarquement Orage, âgé de 39 ans. D'une longueur de 199 mètres pour un déplacement de 21.500 tonnes en charge, les BPC du type Mistral sont les plus grands navires amphibies européens (jusqu'à l'admission au service actif du BPE espagnol, en 2008). Les capacités d'emport son particulièrement importantes, avec 16 hélicoptères lourds (NH 90 et Tigre) ou plus de 30 hélicoptères légers (type Gazelle), une centaine de véhicules (dont 13 chars lourds Leclerc) et 450 hommes de troupe (900 pour une courte durée). Côté amphibie, le radier des BPC est conçu pour accueillir quatre chalands de débarquement (LCM) ou deux engins sur coussin d'air du type LCAC américains. Le Mistral ou le Tonnerre mènera d'ailleurs cette année des essais de qualification de ces engins avec le concours de l'US Navy. Depuis la livraison du Mistral, de nombreux pays se sont montrés intéressés par le concept du BPC. A l'export, DCN propose désormais quatre variantes, de 14.000 à 27.000 tonnes. Le groupe, allié à ADI (filiale de Thales), espère décrocher un contrat d'environ un milliard de dollars avec l'Australie. Le pays, qui souhaite acquérir deux grands navires amphibies, doit faire son choix cette année entre le BPC français et le BPE espagnol présenté par Navantia. Les offres commerciales ont été remises à Canberra fin 2006.

 

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ICI  (PDF 155 Ko)
(2) Instruction n°50475/DN/CC relative à l'exercice, dans les armées, du droit d'expression sur les problèmes militaires, du 29 septembre 1972
(3) Note n°12441/DEF/SD/CAB/K relative à la procédure d'autorisation préalable en matière de droits d'expression du 29 septembre 1972