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Articles de Presse à l'étranger

 

2009

 

Fin mars 2009 Le Bpc Tonnerre mouille en haute mer

Écrit par Denis Nkwebo

La présence de l’imposant bâtiment de guerre français dans les eaux camerounaises peut être dissuasive.

Les 25 et 26 mars derniers, le Bpc Tonnerre a séjourné au port de Douala. C’est sur ce « monstre » géant de 50 mètres que des hauts responsables civils et militaires ont discuté de la sécurité dans le golfe de Guinée.

Pour autant, le fait que ce bâtiment de guerre, l’un des plus puissants de la marine nationale française mouille dans les eaux camerounaises à un moment où la sécurité est menacée sur sa côte n’est pas fortuit. L’accostage du Tonnerre est intervenu au moment où un message porté du ministre de la Défense, Remy Ze Meka, alertait les forces de sécurité d’une attaque imminente sur la ville de Limbe, et plus précisément sur la Société nationale de raffinage (Sonara). Les officiers marins français à bord ont indiqué qu’ils n’avaient aucune mission de « guerre » sur place, tout en précisant que lors des exercices similaires ailleurs, il ont pû participer à la prise de trafiquants de drogue.

Ce n’est pas la première fois que le bâtiment de projection et de commandement « Bpc » baptisé « Tonnerre » débarque au Cameroun. Le même équipage était à Limbe début 2008. Au cours d’une visite guidée, les marins français ont expliqué que leur navire est appelé à opérer dans plusieurs types de missions, à savoir : « le commandement de tout types d’opérations vers la terre depuis la mer, les missions de gestion de crise et d’évacuation des ressortissants, les opérations amphibies avec projection de force par le débarquement de troupes, les opérations humanitaires suite à des catastrophes naturelles, et le transport opérationnel ». Il s’agit donc d’un bon outil de démonstration de force, dans les eaux qu’écument les pirates de tous bords. Le Bpc Tonnerre est un porte hélicoptères, ayant à son bord un mini hôpital sur 750 mètres carrés, et ayant une grande capacité amphibie. Le bâtiment peut accueillir 450 soldats en armes, soit un demi régiment avec des normes de confort et d’habilité permettant des séjours à la mer de longue durée.

Source Web

 

 

Fin mars / Pourquoi la France manœuvre dans le golfe de Guinée

L’ambassade de France à Yaoundé préoccupée par la sécurité maritime

ImageDes responsables nationaux et internationaux ont planché sur la question mercredi dernier à Douala.

 

C’est sur un bâtiment de la marine française qu’un expert venu de Paris a entretenu un auditoire constitué de militaires, de civils et d’observateurs nationaux et internationaux, sur la question de la piraterie maritime dans les golfes d’Aden et de Guinée.

 

L’exposé qualifié de riche par quelques uns des participants rencontrés au pied du bateau « Bpc Tonnerre », n’avait rien de nouveau, et portait sur « la sécurisation des activité maritimes et commerciales, l’action de l’Etat en mer et la synergie entre les organisations sous-régionales ». Mais, « il était temps que les acteurs s’informent sur ce qui se passe au large des côtes somaliennes et dans le golfe de Guinée ». Pourquoi donc regrouper tant de monde (les Etat riverains du golfe de Guinée, la France, les Etats-Unis, l’Union européenne, les Nations Unies etc. », alors que la piraterie en cause se passe dans des pays bien précis ? Georges Serre, ambassadeur de France au Cameroun, principal artisan du séminaire de Douala, répond qu’il s’agit d’une veille internationale contre un fléau qui gène les activités normales de commerce et de production de richesse.

On peut donc comprendre l’invitation adressée aux compagnies pétrolières opérant dans le golfe de Guinée. Un officier de l’armée camerounaise justifie cette présence des pétroliers par le fait que les pirates les tiennent pour « cibles privilégiées », avec en arrière-pensée les rançons qu’ils exigent chaque fois qu’un enlèvement vient à se produire. Un autre officier supérieur camerounais s’est empressé de dire que la réflexion collective qui est engagée autour de la sécurité maritime ne saurait être réduite à la protection des intérêts pétroliers. «La pêche et tout le secteur des transports maritimes sont menacés par les actes de piraterie», explique-t-il, avant d’ajouter que les attaques répétées en mer sont « une menace pour la souveraineté des Etats ».

Il y a, autour de la question de l’insécurité dans le golfe de Guinée, un chassé croisé entre les grandes puissances ; la France et les Etats-Unis se relayant dans leurs efforts d’assistance aux Etats riverains du Golfe de Guinée. En visite à Limbe dans la région du Sud-Ouest en 2008, le général Réglat, commandant des forces armées françaises stationnées au Gabon, parlait déjà de « bandes armées qui mettent en péril le trafic maritime dans le golfe de Guinée à travers des actes de piraterie », en les comparant à une gangrène que la France peut aider à éradiquer. Le responsable militaire français et l’ambassadeur de France à Yaoundé ont multiplié des visites auprès du président Biya. Reste qu’au fur et à mesure que les efforts se multiplient en vue d’adresser la question de la piraterie aux larges des côtes de l’Afrique centrale, les groupes armées qui y sévissent multiplient pour leur part, les actes d’agression, souvent avec beaucoup de réussite.

Source Web

 

   2007

 

 

   Extrait Journal Local / Le Cap / Afrique du Sud

Heavylift vessel and French warship are focus of maritime attention

Another ship catching the eye - for very different reasons - was the smart French amphibious assault ship, Tonnerre, that came into False Bay at dawn on Monday, intending to berth in Cape Town later that day.  Silhouetted against the rising sun and the distant mountains, the 199-metre vessel made a stunning picture that lamentably I missed as a camera was not part of my Monday morning baggage!  As the cold front swept across the Western Cape with gale force winds, her commanding officer elected to anchor in False Bay on Monday to berth at Cape Town's Eastern Mole on Tuesday.

She was completed late last year and has a capacity for 16 helicopters, 450 troops and 60 armoured vehicles, as well as having a capacity to launch small landing craft via  a stern hatch.  Her shallow draught makes her ideal to close a coastline to land troops.

Her arrival follows the conference, held in Simon's Town about a fortnight ago to focus on maritime co-operation, especially in the SADC region.

Amidst the regional approach to maritime issues, including the need to address security threats as well as peace-keeping and aid distribution operations, one conference speaker emphasised the need for joint training and mooted the idea of centralized, specialised training facilities for the region.

With reference to regional naval co-operation, especially as threats posed by pirates in the Gulf of Guinea and off the Horn of Africa have extended to Kenyan and Tanzanian waters where even ships carrying aid cargoes have attracted the attention of these thugs, the mantle of regional leader in naval affairs has fallen squarely on South Africa with the largest and best-equipped navy.

That translates into the South African navy needing to be equipped for its leading role, and while I have yet to be convinced that submarines are more important than maritime reconnaissance aircraft, the purchase of a fifth frigate and a vessel similar to Tonnerre, appears necessary.  (One hopes that sufficient personnel will emerge from the envisaged high-powered training centres to crew these vessels - Tonnerre has a crew of 60 - as well as to fly and maintain the helicopters.)

Brett Moore / Lien web

Traduction / Voir cadre de droite (en cours de traduction)

Traduction "Mike Storey" / Remerciements

Un vaisseau à charge lourde et un bâtiment de guerre français font le centre d’attraction

Un autre vaisseau qui nous attira l’œil, si bien pour des raisons tout à fait différentes, fut le beau bâtiment français d’assaut amphibie le Tonnerre. Il entra False Bay lundi à l’aube, ayant l’intention d’accoster au Cap plus tard dans la même journée.  Se profilant contre le soleil levant et les montagnes lointaines, ce bâtiment de 199 mètres de long fit une image extraordinaire que malgré tout je manquai d’enregistrer car un appareil photo ne se trouva pas dans mes bagages de ce lundi matin !  En raison du passage d’un front froid à travers la région du Cap de l’ouest (Western Cape) accompagné de ses forts coups de vent, son Commandant prit la décision de mouiller dans False Bay lundi et ensuite d’accoster contre le digue est du Cap mardi.

Il fut armé vers la fin de l’année dernière et peut accueillir 16 hélicoptères, 450 troupes et 60 véhicules blindés.  En outre, il possède une capacité de mise à l’eau de petits chalands de débarquement par un sabord arrière. Son faible tirant d’eau lui donne la capacité de s’approcher à la côte afin de débarquer ses troupes.

Son arrivée suit la conférence qui eut lieu au Cap, il y a 15 jours environ, et qui visa sur la coopération maritime, particulièrement en région SADC (Southern African Development Community—la communauté du développement de l’Afrique méridionale).

Outre l’approche régionale aux questions maritimes, y compris le besoin d’aborder les menaces à la sécurité aussi bien que les opérations de maintien de la paix et de distribution de l’aide, un conférencier avait souligné le besoin d’une formation interarmées et soulevé une proposition pour des organismes régionaux de formation, centralisés et spécialisés.

A propos de la coopération navale dans la région, surtout compte tenu du fait que les menaces posées par des pirates dans le Golfe de Guinée et au large de la Corne de l’Afrique se sont étendues aux eaux territoriales du Kenya et du Tanzania où même des vaisseaux transportant des cargaisons d’aide ont attiré l’attention de ces gangsters, le rôle de leader régional dans les affaires maritimes tombe bel et bien sur l’Afrique du Sud, pays possédant la marine la plus importante et mieux équipée. 

Ceci traduit à un besoin que la marine de l’Afrique du Sud doive être équipé pour son rôle principal et, bien que je reste à être convaincu que les sous-marins soient plus importants que les avions de patrouille maritime, l’achat d’une cinquième frégate et d’un vaisseau du genre du Tonnerre me semble nécessaire. (On espère néanmoins que les centres de formation ‘haut de gamme’, comme on les envisage, produiraient du personnel en nombre suffisant afin d’équiper ces vaisseaux : l’équipage du Tonnerre en compte 60 en plus de ceux qui équipent et maintiennent les hélicoptères).

La France présente son nouveau navire amphibie

28 mai 2007

Remerciements pour la Traduction / Portail des Sous-marins

Le nouveau navire amphibie de 21.500 tonnes de la Marine Nationale, le Tonnerre, était accosté à quai dans la base navale tentaculaire de Norfolk, aussi haut que les navires d’assaut de 40.000 tonnes de l’US Navy amarrés de chaque côté. Mais en montant à bord, le visiteur est frappé par quelque chose que l’on ne trouve tout simplement pas à bord des navires Américains, pourtant presque 2 fois plus gros : de la place.

Le Tonnerre, deuxième bâtiment de projection et de commandement (BPC) de la Marine Nationale, est presqu’aussi spacieux qu’un navire de croisière. De larges coursives avec de hauts plafonds, de larges escaliers et des cabines spacieuses remplissent l’intérieur du navire, en opposition totale avec les coursives encombrées et les couchettes souvents étroites des navires de l’US Navy.

Tout cet espace peut apparaître comme du gaspillage pour certains marins. Mais, déclare le capitaine de vaisseau Bernard Longépé, le responsable du programme BPC à la DGA, la place supplémentaire a des utilisations militaires spécifiques.

“Le bâtiment a été conçu à partir des demandes des utilisateurs de la Marine comme de l’armée de terre,” a-t-il indiqué. Le besoin le plus important pour l’armée de terre était de la place pour installer le matériel et des coursives larges et dégagées.

Le Tonnerre et le Mistral sont conçus pour transporter 450 soldats complètement équipés, avec 16 hélicoptères, 4 engins de débarquement mécanisés ou 2 LCAC [1] et divers véhicules militaires et chars. Contrairement aux navires d’assaut Américains, les navires Français ne sont pas équipés d’un vaste éventail de senseurs et ne peuvent recevoir d’appareils à aile fixe comme les AV-8 Harriers.

Mais les bâtiments de la série Mistral, très automatisés, représentent une grande avancée par rapport à leurs prédécesseurs, la Foudre et le Siroco (12.400 tonnes). Conçus pour transporter du personnel autant que comme navires amphibies, les Mistral n’ont qu’un équipage de 167 marins, contre 235 pour le Siroco. Plus de 700 personnes peuvent être accueillies en situation d’évacuation, et un centre de commandement combiné est équipé de 200 postes de travail.

Longépé a indiqué qu’un objectif majeur du programme Mistral était de réduire le prix de 40% par rapport au Siroco, construit il y a seulement 11 ans. “Ce navire est 2 fois plus gros mais nous l’avons eu pour le même prix que le Siroco,” a-t-il indiqué, notant que la France a dépensé environ 650 millions d’€ pour les 2 navires.

La clé pour réduire les coûts, a indiqué Longépé, a été d’utiliser une approche de construction modulaire qui se basait sur plusieurs chantiers qui construisaient différentes sections du navires et sur l’utilisation de 3 principaux sous-traitants :
- DCN, responsable des objectifs de coût et de la performance, a construit la partie arrière des navires, intégré le système de combat et terminé les navires à Brest. Plus de la moitié de la section arrière a été sous-traitée aux chantiers Stocznia Remontowa de Gdansk en Pologne.
- Alstom Marine-Chantiers de l’Atlantique a construit les section avant — y compris tous les espaces de vie et la plupart des espaces de travail — et fournit les pods de propulsion.
- Thales a effectué la conception et la production des systèmes de surveillance radar et de communication.

L’influence des Chantiers de l’Atlantique — maintenant propriété d’Aker Yards — est évidente dans les zones de vie du Tonnerre. Le chantier de St. Nazaire a un long passé de constructeur de navires à passagers — dont le Queen Mary 2 — et les logements sont d’un haut niveau. Toutes les cabines particulières sont des suites, et tous les officiers ont des cabines individuelles. L’équipage est logé en cabines de 4 au maximum, et les troupes sont logés dans des compartiments spacieux avec 6 couchettes doubles.

Un salon de détente se trouve à proximité des toutes les cabines, et l’équipage dispose d’une grande salle de jeu et d’une salle de lecture de la même taille — chacune équipée de matériel de projection de canapés, chaises et d’un bar.

Les tuyaux et canalisations visibles sur la plupart des navires de guerre sont cachés dans la section avant derrière des panneaux composites beige.

La qualité de vie a été un facteur important pour la conception, a déclaré le commandant du Tonnerre, le Capitaine de Vaisseau Philippe Hello.

“Oui, le bâtiment est joli,” a-t-il indiqué. “A cause de cela, l’équipage a besoin de travailler plus. C’est une très grande motivation.”

L’équipage réduit signifie que le navire a besoin de plus de marins avec des compétences techniques, et seulement environ un quart de l’équipage est composé de jeunes engagés, a indiqué Hello.

“Il y a beaucoup de formation interne. C’est la même chose que sur un sous-marin,” a-t-il indiqué.

Avec beaucoup de fonctions automatisées, le Tonnerre peut être armé par une équipe de quart de moins d’une douzaine de personnes. Hello a indiqué que le navire a traversé l’Atlantique en avril avec seulement 9 marins de quart, dont 3 sur le pont. Les membres d’équipage ont déclaré qu’ils se sentaient parfois seuls en marchant dans les larges coursives vides du navire.

Parce qu’ils mélangent les compétences, Hello a indiqué que le bâtiment n’a pas la structure habituelle de la pyramide des grades.

“La pyramide n’en est pas une,” a-t-il indiqué. “Le mot clé est productivité.”

Le haut niveau de modularité de la construction a aussi permis de réduire la durée de la construction des navires, un autre élément clé dans la réduction des coûts, a indiqué Longépé. Il a souligné que la construction de chaque bâtiment, du début de la fabrication aux essais à la mer, a seulement pris 3 ans.

La période habituelle de 6 mois d’essais à la mer du Mistral a été interrompue l’été dernier lorsque le bâtiment — qui n’était pas encore admis officiellement en service — a été envoyé au Liban pour évacuer les civils au cours de l’invasion Israélienne

L’opération a montré que des modifications étaient nécessaires sur le radier, a indiqué Longépé, et d’autres changements ont été effectués sur des treuils de mauvaise qualité et sur des écoutilles qui étaient prématurément usées.

Mais depuis son admission au service le 28 février dernier, le Tonnerre a été très occupé. Le navire a quitté sa base de Toulon le 10 avril pour la vérification de ses capacités militaires et ne rentrera que le 24 juillet. Après une escale au Canada, le Tonnerre est venu à Norfolk au début mai pour plusieurs semaines d’essais d’interopérabilité, où il a embarqué des hélicoptères MH-53E et MH-60S et des LCAC. La Martinique vient ensuite, suivie par des escales à Rio de Janeiro (Brésil) ; Le Cap (Afrique du Sud) et Dakar (Sénégal).

Après une période de 2 semaines au bassin, le Tonnerre est prévu de participer à un exericice de l’OTAN en Adriatique. Le commandant Hello a remarqué que le bâtiment avait un programme déjà chargé pour 2008.

Le Mistral et le Tonnerre ont été construits en respectant les normes de l’Organisation Maritime Internationale en beaucoup d’endroits. Le commissaire Arnaud Guigné a déclaré que les 2 bâtiments “représentent une nouvelle fusion entre les technologies civiles et militaires.”

Hello est d’accord : “C’est la fusion des technologies et des opérations civiles et militaires pour obtenir le meilleur des 2.”

Notes :

[1] landing craft air cushions : engins sur coussin d’air de l’US Navy.

Référence : Defense News (Etats-Unis)

21 juin 2007 / Source Web

Cape Town to host some interesting ships
 


The Dockwise semi-submersible heavylift vessel MIGHTY SERVANT 3 is due in Cape Town this Sunday 17 June under tow behind the Chinese offshore tug DE HONG (3170-gt) following the heavylift’s successful salvage by SMIT Salvage off Luanda.

Mighty Servant 3 developed a list on the morning of 6 December 2006, shortly after floating off the drilling platform ALEUTIAN KEY. The crew of 21 was able to leave the ship in safety as their ship sank in a depth of 52 metres.

The exact ETA in Cape Town is difficult to predict as the speed of the tow is subject to weather conditions.

Following a complete diving survey and the removal of the vessel’s bunker oil and pollutants, SMIT Salvage was contracted to salvage the sunken vessel and ‘give her a second life.’

This was achieved by means of bringing in the sheerlegs TAKLIFT 7 and pressurising various compartments in the vessel with compressed air. Initially the bow was refloated and stabilised after which the stern was lifted off the ocean bed.

According to the salvors the vessel will be inspected in the dry dock at Cape Town and options reviewed to refurbish and reinstate the vessel as soon as practically possible. From Cape Town she will move onwards to whichever yard that is awarded the contract to perform the refurbishment.

Another arrival of interest for Cape Town is the French Navy amphibious dock landing ship FNS Tonnerre (L-9014). As far as Ports & Ships is aware this will be her first visit to South Africa (we will be happy for any correction).

The ship, which was completed in 2005 and displaces some 20,000 tonnes and can carry a flight of between 16 and 20 helicopters as well as two hovercraft, arrives in the Mother City on 25 June for a short stay.
 

OTAN - Mai 2007 - Source : ICI

The Tonnerre was less than two miles off the coast of Amphibious Base Little Creek to demonstrate its ability to embark U.S. helicopters and Landing Craft Air Cushion vehicles during the ship’s initial sea trials May 9-11.

While the fog periodically delayed some testing over the three day period, U.S. Navy LCACS and helicopters proved the French ship can land, launch and communicate with U.S. Navy assets.

The ship’s Commanding Officer Capt. Philippe Hello said while these tests were specifically for U.S. equipment, the ship is designed to accommodate assets throughout NATO.

“This ship is in line with the mission of the French forces,” Hello said.  “However, this is mainly an interoperability test to demonstrate that we are able to be any where in the world at any time to operate alongside Alliance and, specifically U.S. and coalition war ships.”

The Tonnerre, which was also designed as a NATO Response Force Command ship, was commissioned in February and will host the NRF Maritime Component Command for future NRF evolutions.  And, with 90 square metres of office space, the embarked MCC has enough room aboard the ship for all its command needs. 

French Navy Cmdr. Guillaume Delaroche, the exercise section head for the NATO Combined Joint Operations from the Sea Centre of Excellence, said these types of tests are essential for NATO’s maritime mission.

“It’s the mission of the CJOS CoE to welcome and integrate foreign units from any of the 13 sponsoring nations and other Alliance forces,” Delaroche said. “It’s important for us to take advantage of any training opportunities with the U.S. Navy.  The training we are going through now is proving our interoperability between Alliance nations.”

U.S. Navy Lt. Cmdr. David Tarwater, the training and readiness officer for Expeditionary Strike Group Two’s Exercise Division, said his work began with a trip in late March to the ship’s homeport, Toulon, to ensure Tonnerre’s well deck was prepared.

“We have been working with this ship since April and plan to have all tests complete by 19 May,” Tarwater said.  “Both the French and U.S. Navy sailors have demonstrated exceptional proficiency and we are ahead of our timeline.  Despite the weather delays, the Tonnerre crew have also received more training than we had planned.” 

Kent Taylor, the program manager for the Naval Sea Systems Command LCAC Program, said the foundation for this interoperability testing was laid during the ship’s construction, more than eight years ago.

“This vision for this ship, and its sister ship, the Mistral, was to create a ship with the ability to operate with our LCACs,” he said.  “I rode the first LCAC aboard during this test and it was as smooth as could be.  The French engineers who built this ship kept in mind all our engineering considerations that were required to make it interoperable with the LCAC.”

The Tonnere’s sea trials proved that if called upon, she stands ready to serve and fight alongside any naval forces within the NATO alliance.

 

DCNS - Mai 2007

 

 

Source: DCNS; May 23, 2007

BPC Tonnerre Passes Interoperability Tests: DCNS Expertise Serving Force Projection

PARIS --- Between 10 and 13 May 2007, the defence procurement agency DGA and the French Navy, assisted by DCNS, successfully completed an interoperability test campaign off the coast of Norfolk, Virginia, involving BPC-type force projection and command vessel Tonnerre and US Navy assets.  
 
The tests resulted in the official qualification of BPC-type vessels for operations involving LCAC-type air-cushion landing craft and MH 53E Super Stallion heavy-lift helicopters, specifically LCAC launch and recovery using the well deck (a lower deck that can be flooded to embark and debark landing craft) and MH 53E landing and take-off using flight deck spot n° 1.  
 
The tests enabled DCNS to demonstrate the performance of the system it developed to cool LCAC exhaust gases (at up to several hundred degrees Celsius) in the well deck. Joint measurements by French and American engineers confirmed that the cooling system performed precisely as predicted, with the ship suffering no damage whatsoever.  
 
As BPC prime contractor, DCNS has demonstrated its capacity to design and build ships accommodating all types of equipment. The LCAC requirements had a major impact on BPC architecture and subsystems. This capacity to meet a wide range of force projection needs is arousing strong interest in countries from Australia and South Africa to Brazil, Canada and Malaysia.  
 
The French BPC fleet has demonstrated interoperability unequalled to date in a European warship.  
 
With its huge payload capability and a crew of just 160, this is the first ship type for the French Navy to be built to commercial shipbuilding standards. The design also offers the flexibility to carry out humanitarian missions such as that undertaken by the first-of-type Mistral in Lebanon in July 2006.  
 
The Tonnerre was delivered to the French Navy in February 2007 following acceptance by French defence procurement agency DGA

 

Source WEB : Défense-aerospace

 

La concurrence du BPC Français : ICI

 

BPC Monitoring / SIREHNA

Photos BPC Mistral / Site web Russe

Site sur les Navires amphibies Français (Croatie)

Liens site information (en anglais) + photos

 

http://www.naval-technology.com/projects/mistral/

http://www.jeffhead.com/worldwideaircraftcarriers/mistral.htm

http://www.globalsecurity.org/military/world/europe/mistral.htm

http://www.ibiblio.org/maritime/photolibrary/index.php?cat=429

 

24 avril / Chronicle Herald

Little wheel, one big ship / 16 choppers, 60 vehicles, 4,000 people: French ship Tonnerre quite a carrier


By PAUL EVEREST  / Source : ICI  Halifax / 24 avril

The wheel on the bridge of the F.N. Tonnerre is only slightly larger than a tea saucer.

That’s surprising since the French assault helicopter carrier, which docked at HMC Dockyard in Halifax on Monday, is 199 metres long and 32 metres high and could easily be mistaken for a small aircraft carrier.

Aside from being a launching point for up to 16 helicopters, the two-year-old Tonnerre can transport about one-third of a mechanized regiment — or about 60 military vehicles, including hovercrafts — and carry 4,000 people in addition to its regular crew of 160. It’s considered an "amphibious ship" in that landing craft can prepare to deploy from what commanding officer Capt. Philippe Hello called a "water deck."

"That means a kind of swimming pool equipped with ballast so we can put the ship in water in order to launch an LCU, or landing-craft unit, from the ship to the shore," he said as he talked with reporters on the ship’s flight deck.

Last summer, the Tonnerre’s sister ship, F.N. Mistral, which was built of the same design, put her amphibious capabilities to the test when it assisted in evacuations from Lebanon during that country’s conflict with Israel.

"She extracted more than 5,000 nationals and foreigners," Capt. Hello said.

The electric-powered Tonnerre is the largest ship Capt. Hello, a veteran of France’s national navy, has commanded, both in size and in its role in the French fleet.

"In fact, we have four ships inside one," he said. "We have a helicopter carrier, a hospital ship, a command ship and an amphibious ship."

The hospital portion has 69 beds along with X-ray, dental and surgical services, he added.

Antoine de Brosse, an assistant to the ship’s supply officer and the youngest officer on the ship at 22, said the Tonnerre is also an environmentally friendly vessel.

"It’s cleaner because we adopted the MARPOL (Maritime Pollution) anti-pollution standards," he said.

That means no garbage, sewage or fuel ends up in the water, a sizable task since the ship can stay at sea for 45 days before being resupplied.

"It enables us to go to any port we want," Mr. de Brosse added. "Some ports refuse ships that don’t abide by the standards."

After the Tonnerre leaves Halifax, it will head to Norfolk, Va., for training exercises involving helicopters and landing crafts with the U.S. navy.

As for that tiny wheel, crew member Charlotte Gervais said she has no problem keeping the ship straight at sea.

"It’s very easy," she said with a laugh.

Traduction Article de gauche

un grand bateau / Halifax / 24 avril / Chronicle Herald

Par PAUL EVEREST

La barre sur la passerelle du Tonnerre est à peine plus grande qu’une soucoupe de thé.

C’est surprenant puisque le porte-hélicoptères d’assaut Français, qui a accosté lundi à Halifax, mesure 199 mètres de long et 32 mètres de haut. Il pourrait facilement être pris pour un petit porte-avions.

En plus de pouvoir accueillir jusqu’à 16 hélicoptères, le Tonnerre, âgé maintenant de 2 ans, peut transporter environ un tiers d’un régiment mécanisé — soit environ 60 véhicules, y compris des hovercrafts — et 4.000 personnes en plus de son équipage normal de 160 marins. Il est considéré comme un "navire amphibie" puisque des barges de débarquement peuvent être déployés à partir de ce que le commandant, le capitaine de vaisseau Philippe Hello, appelle un "pont immergé."

"C’est une sorte de piscine équipée de ballast. Nous pouvons donc mettre le navire dans l’eau pour lancer un LCU [1] vers la côte," a-t-il déclaré aux journalistes sur le pont d’envol.

L’été dernier, le sister-ship du Tonnerre, le Mistral, qui a été construit sur les mêmes plans, a testé ses capacités amphibies lorsqu’il a participé à l’évacuation du Liban au cours du conflit entre le Hezbollah et Israël.

"Il a évacué plus de 5.000 ressortissants Français ou étrangers," a déclaré le commandant Hello.

Le Tonnerre, propulsé par des moteurs électriques, est le plus grand navire que le commandant Hello, un vétéran de la Marine Nationale, a commandé, à la fois en taille et pour son rôle dans la flotte Française.

"En fait, nous avons 4 navires en un," a-t-il indiqué. "Nous avons un porte-hélicoptères, un navire-hôpital, un navire de commandement et un navire amphibie."

La partie hôpital dispose de 69 lits avec radios, dentiste et chirurgie, a-t-il ajouté.

Antoine de Brosse, un adjoint du commissaire du bord et le plus jeune officier du bord à 22 ans, a aussi indiqué que le Tonnerre était un navire “vert”.

"Il est plus propre parce que nous respectons les règles anti-pollution de la convention MARPOL," a-t-il indiqué.

Cela signifie qu’aucun déchet, eaux usées ou carburant n’est rejeté à la mer, une tâche considérable puisque le navire peut rester 45 jours en mer avant d’être réapprovisionné.

"Cela nous permet d’aller dans tous les ports que nous voulons," a indiqué M. de Brosse. "Certains ports refusent les navires qui ne respectent pas les règles."

Après que le Tonnerre aura quitté Halifax, il se dirigera vers Norfolk, pour des exercices avec l’US Navy. Des hélicoptères et des barges de débarquement y participeront.

Pour la petite barre, le matelot Charlotte Gervais a indiqué qu’elle n’avait aucun problème à garder le navire sur son cap.

"C’est très facile," a-t-elle déclaré en riant.

 

Calgary Herald / 24 avril 2007

  560 Ko

Source : Ambassade de France au Canada

1er mars 2007

Source / Web

   

   2006

 

Australie

Article revue Australienne / Avril 2006

Document BPC Thales Australie

 

 

Article Times Daily

 

Extrait page

http://www.amphib.com.au/default.asp?page=10

 

 

2005

 

Article en Australie / Issue 66 / Décembre 2005

 

 

 

   

2001

 

Article Presse / Brésil / 1er mars

Source : PDF

 
   

2000

 

20 December 2000 / Source ICI

Article original

France boosts amphibious capabilities

J A C Lewis
JDW Correspondent Paris
Richard Scott JDW Naval Editor London

France has placed a FFr3.5 billion ($472 million) order for two 21,000-tonne displacement Nouveaux Transports de Chalands de Debarquement (NTCD) multi-purpose amphibious ships for the French Navy. State-owned warship builder Directions des Constructions Navales (DCN) will be prime contractor for the new ships, to be built in conjunction with commercial shipbuilder Chantiers de l'Atlantique.


According to the French Ministry of Defence (MoD), the aim of the two ships is to serve as a pre-positioned command platforms and landing docks for joint and multinational amphibious operations. They will also be capable of conducting non-combatant evacuations and humanitarian relief.

Designed to replace the existing amphibious landing ships Orage and Ouragan, the two new NTCDs will complement the amphibious vessels Foudre and Siroco that entered service in 1990 and 1998 respectively. Construction is expected to begin in 2002. The first ship, to be named Mistral, will enter service in late 2004 or early 2005, and the second, Tonnerre, will enter in late 2005 or early 2006.

The NTCDs will be fitted out as flagships for joint taskforce operations, with a full range of communications (including satellite communications) plus national and NATO datalinks. The MoD says Mistral and Tonnerre will enable far greater interoperability between French amphibious forces and those of the UK, the Netherlands, Italy and Spain.

As a 'design to cost' programme, the NTCDs will be largely built to commercial (Bureau Veritas) standards. Chantiers de l'Atlantique will construct the forward section of the two vessels and accommodation modules at its St Nazaire yard. The middle (operations) and aft (payload) blocks of the ships will be constructed at DCN Brest, where final assembly and outfitting will also take place. DCN has overall prime contract management responsibilities for the design and construction of the two ships.

The through-deck NTCD design is 199m in length and 28m in beam. The flight deck will have six helicopter spots, connected to the hangar by two separate elevators (one astern, the other abaft the island superstructure). The stern dock will be compatible with the US Landing Craft Air Cushion and a new class of Landing Craft Mechanised (LCM), for which feasibility studies are in progress.

Payload capabilities comprise:

1 16 medium helicopters (NH Industries NH 90, Eurocopter Cougar or Tiger);

2 60 armoured vehicles or one squadron of Giat Industries Leclerc main battle tanks;

3 450-troop embarked military force;

4 Two LCAC-type hovercraft or four LCM landing craft.

Each NTCD vessel will have a 63-bed hospital fitted as standard. Additional medical elements can be brought aboard using elements from containerised field hospital units.

As the NTCD is likely to be under the cover of escorts the ships' self-defence suite will be limited to two short-range missile systems, two 30mm guns and four machine guns. A small action information organisation will be installed for real-time tactical picture compilation and situation assessment. One 3-D surveillance radar will be fitted.

The NTCD design will feature electric propulsion, a first for a French Navy warship. Four 5.2MW diesel generator sets will power the ship's propulsion and services.

Two 7.5MW podded propulsors will be fitted based on a second-generation DCN design intended to yield improvements in efficiency, manoeuvrability and radiated noise.

The maximum speed will be 19-20kt. Its range (at 15kt) will be 11,000n miles, with a maximum endurance of 45 days. The NTCD will also be fitted with a bow thruster to aid position keeping or manoeuvring in close confines.

20 December 2000 / Source ICI

Traduction française avec logiciel

La France amplifie des possibilités amphibies


La France a passé une commande FFr3.5 milliard de francs de deux bateaux amphibies (Nouveaux Transports de Chalands De Débarquement (NTCD) du déplacement 21,000-tonnes pour la marine française. Les constructions Navales (DCN)  seront entrepreneur principal pour ces nouveaux bateaux.


Selon le ministère français de la défense, le but des deux bateaux est de servir de plateformes de commandement  et d'atterrissage pour les opérations amphibies multinationales. Ils seront également capables de conduire les évacuations humanitaires.

ils sont construits pour remplacer les bateaux amphibies existants Orage et Ouragan, les deux nouveaux NTCD compléteront les navires amphibies Foudre et Siroco qui ont été mis en service en 1990 et 1998 respectivement. On s'attend à ce que la construction commence en 2002. Le premier bateau, appelé Mistral, entrera en  service vers la fin de 2004 ou début 2005, et le second, Tonnerre, vers la fin de 2005 ou début 2006.

Le NTCD sera adapté comme navire amiral pour des opérations communes de taskforce, avec une gamme complète de communications (communications par satellite y compris) plus le national et les liaisons de données de l'OTAN. Le mistral et le Tonnerre permettront une plus grande coopération entre les forces amphibies françaises et ceux du R-U, des Pays Bas, de l'Italie et de l'Espagne.

Les Chantiers de l'Atlantique construiront la section avant à saint Nazaire. Les blocs arrière seront construits à DCN Brest, où l'assemblée finale et l'équipement auront lieu également.

La conception est 199m dans la longueur et 28m de large. Six spots d'hélicoptères, reliées au hangar par deux ascenseurs séparés. Le dock sera compatible avec le coussin d'air de barge de débarquement des USA et une nouvelle classe de barge de débarquement mécanisés (LCM), pour laquelle les études de faisabilité de faisabilité sont en marche.

Les possibilités de charge utile comportent :

1 16 hélicoptères moyens (industries NH 90 de NH, puma d'Eurocopter ou tigre) ;

2 60 véhicules blindés ou un escadron des chars de bataille de Leclerc d'industries de Giat ;

4 Deux aéroglisseurs  LCAC-type ou barge de débarquement de quatre LCM.

Chaque navire de NTCD aura un hôpital adapté.

l'auto-defense des bateaux sera limitée à deux systèmes à courte portée de missile, à deux canons de 30mm et à quatre mitrailleuses. Une petite organisation de l'information d'action sera installée pour la compilation d'image et l'évaluation tactiques en temps réel de situation. Un radar de la surveillance 3-D sera adapté.

La conception de NTCD comportera la propulsion électrique, une première pour un vaisseau de guerre français de marine. Quatre groupes électrogènes 5.2MW diesel actionneront la propulsion et les services du bateau.

Deux 7.5MW des propulsors seront adaptés et seront basés sur une conception de seconde génération de DCN prévue pour rapporter des améliorations d'efficacité, de manoeuvrabilité et de bruit rayonné.

La vitesse maximum sera 19-20kt. Sa gamme (à 15kt) sera les milles 11,000n, avec une résistance maximum de 45 jours.
 

 

 

       

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(2) Instruction n°50475/DN/CC relative à l'exercice, dans les armées, du droit d'expression sur les problèmes militaires, du 29 septembre 1972
(3) Note n°12441/DEF/SD/CAB/K relative à la procédure d'autorisation préalable en matière de droits d'expression du 29 septembre 1972