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Actualités

 

- Retour Actualités / Années -

 

2008 - Interception de navires et saisie de stupéfiants

 

30 janvier 2008 - Préfecture maritime de l'Atlantique

Le 29 janvier à l'aube, le bâtiment de projection et de commandement de Tonnerre, qui assure la mission permanente de présence d'un bateau de la marine nationale à l'ouest des côtes de l'Afrique, a conduit une interception d'un navire soupçonné de se livrer à du narcotrafic. Cette opération a été conduite sur la base de renseignements et sur sollicitation du centre européen d'analyse et d'opérations contre le trafic maritime de stupéfiants (MAOC-N Maritime Analysis Operation Center – Narcotics) en accord avec l'OCRTIS (office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants).

Le navire intercepté est un bateau de pêche de 700 tonnes mesurant 51 m de long, le Blue Atlantic, battant pavillon libérien. A la suite d'une relocalisation par avion de patrouille maritime de la marine nationale, l'interception a été conduite au sud-sud-ouest de Monrovia (Liberia) à environ 520 km. Lors de l'opération, l'équipage, composé de 9 marins ghanéens, a jeté à la mer 92 bidons que les embarcations du Tonnerre ont réussi à récupérer. Ils contenaient des ballots de produits stupéfiants représentant au total entre 2,5 tonnes qui ont ensuite été identifiés comme de la cocaïne.

Le Blue Atlantic est actuellement sous contrôle de l'équipage du Tonnerre. Les deux bâtiments sont en route vers Monrovia, où le navire trafiquant, son équipage et la drogue saisie, seront remis aux autorités de ce pays pour la poursuite de l'affaire sur le plan judiciaire.

 

    

     

- Copyright Marine Nationale -

Vidéo / 5,85 Mo   (Cliquez sur le lien ou clic droit - Enregistrez Sous)

 

Source Web

31 janvier 2008

Extraits Journaux TV - TF1 - 20h30 - Format WMV - 2,9 Mo (clic droit - Enregistrez-sous)

Extraits Journaux TV - FR3 - 19h30 - Format WMV - 3,1 Mo  (clic droit - Enregistrez-sous)

 

TF1 / Journal / Meilleure définition

 

Le Blue-Atlantic à quai à Monrovia

Source Web

 

1er février 2008 / Var matin

 

 

--------------

 

 

Le "Blue Atlantic"

MONROVIA, Liberia - Un bateau contenant plusieurs tonnes de cocaïne a été saisi au large de la côte du Liberia, ont annoncé vendredi des responsables des services maritimes.

Il s'agit de la plus importante saisie dans l'histoire du pays.

Le bateau, le "Blue Atlantic", a été repéré en haute mer dans la nuit de jeudi à vendredi par un bâtiment militaire français. Ce dernier a arraisonné le bateau puis l'a remorqué vers le port, a précisé le chef de la sécurité du port de Monrovia Ashford Pearl.

Source Web : The Associated Press - 01/02/08

 

Débarquement ...   Source web ou Source Web

Source Web

Var Matin

Remerciements Jean-Louis Venne

Communiqué Marine Nationale

 

Lien

   

7 février 2008 - Source / Le Monde et AFP

Trois tonnes de cocaïne découvertes sur un bateau dans le golfe de Guinée

Trois tonnes de cocaïne ont été découvertes sur un bateau battant pavillon panaméen, arraisonné par la marine nationale française dans les eaux internationales du Golfe de Guinée, a-t-on appris jeudi de sources proches du dossier.

Il s'agit de la deuxième interception d'une cargaison de cocaïne par la marine française au large de l'Afrique en moins de dix jours, après l'arraisonnement le 29 janvier à 500 kilomètres au large du Liberia du Blue Atlantic, un bateau de pêche libérien transportant près de 2,5 tonnes de cocaïne.

C'est un renseignement des gardes-côtes grecs, transmis à la France par le Service de coopération technique internationale de police (SCTIP) à l'office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants, qui a permis à l'OCRTIS de la police judiciaire française de retrouver le navire.

Le "Junior" était surveillé depuis des mois en tant que bateau suspect par la DEA (Drug enforcement agency), l'agence américaine de lutte contre le trafic de drogue.

Il se rendait apparemment du Brésil vers Alger, avec à son bord 107 caisses de 30 kg de cocaïne, selon les gardes-côtes grecs. Le commandant et son second sont grecs, les sept autres membres d'équipage africains, selon la même source.

Celui-ci a été arraisonné par la marine nationale française, au moment où une partie de l'équipage s'apprêtait à jeter par dessus bord le conteneur dans lequel était entreposée la drogue.

Les enquêteurs français attendent la décision des autorités panaméennes de "lever" ou non son pavillon, pour savoir si le navire pourra être conduit jusqu'à un port français pour la poursuite des investigations.

Dans le cas d'un refus du Panama, le navire, affrété par des Grecs, son équipage et l'ensemble de la cargaison devraient être rendus à ce pays.

Cette saisie est la deuxième plus importante réalisée par les autorités françaises depuis cinq ans, après celle de quatre tonnes effectuée le 16 novembre 2006, au large des Antilles, dans la soute d'un cargo panaméen en route vers l'Espagne.

8 février 2008 - Communiqué Préfecture Maritime Atlantique

Interception d'un bateau transportant de la drogue au large de l'Afrique

Le 7 février, le bâtiment de projection et de commandement Tonnerre, qui assure la mission permanente de présence d'un bateau de la marine nationale à l'ouest des côtes de l'Afrique, a conduit sur ordre du préfet maritime de l'Atlantique une interception d'un navire soupçonné de se livrer au narcotrafic.

Le Tonnerre avait été renforcé pour cette occasion par une équipe de commandos marine. Cette opération a été conduite sur la base de renseignements et sur sollicitaion de l'OCRTIS (office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants) en accord avec le centre européen d'analyse et d'opérations contre le trafic maritime de stupéfiants (MAOC-N Maritime Analysis Operation Center - Narcotics).

Le navire intercepté est un cargo de type RORO de 480 tonnes mesurant 47 mètres de long battant pavillon panaméen.

A la suite d'une relocalisation par avion de patrouille maritime de la marine nationale, l'interception a été conduite au sud-ouest de Conakry (Guinée) à environ 300 km.

Lors de l'opération, l'équipage, composé de 9 marins de diverses nationalités, a jeté à la mer un colis suspect que les embarcations du Tonnerre ont réussi à récupérer. Il contenait des ballots de produits stupéfiants représentant au total 3,2 tonnes qui ont ensuite été identifiés comme de la cocaïne.

Le bâtiment intercepté est actuellement sous contrôle de l'équipage du Tonnerre. L'opération a été menée avec l'accord des autorités panaméennes. Les services diplomatiques français sont en contact avec elles dans le but d'établir les conditions du traitement judiciaire de cette affaire.

 

Reportage Photos

     

   Source Préfecture Maritime Atlantique

 

Haute définition / 2 Mo

 

9 février 2008 - La Une de Cols Bleus

   

Remerciements Dominique Duriez

8 février 2008 - Var Matin

 

8 février 2008 - Communiqué Drogue.gouv

Etienne Apaire, Président de la MILDT, félicite la marine nationale française pour la saisie de 3 tonnes de cocaïne dans les eaux internationales du Golfe de Guinée

Etienne Apaire, le Président de la MILDT tient à féliciter la marine nationale française qui, une nouvelle fois, vient de s’illustrer dans la lutte contre les narcotrafiquants en arraisonnant un bateau battant pavillon panaméen dans les eaux internationales du golfe de Guinée transportant 3 tonnes de cocaïne.

Pilotée par les policiers de l’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS), cette opération a été réalisée par les marins du Tonnerre, qui avaient déjà arraisonné, le 29 janvier dernier, à quelque 500 kilomètres au large du Libéria, un bateau de pêche libérien transportant près de 2,5 tonnes de cocaïne.

Le renseignement initial, obtenu auprès des gardes-côtes grecs par les policiers du Service de coopération technique internationale de police (SCTIP), est la démonstration de l’efficacité de la coopération internationale dans la lutte contre les trafiquants de stupéfiants.

Le Président de la MILDT adresse ses plus vives félicitations à l’ensemble des militaires et policiers qui, lors de cette opération d’interception, ont démontré leur professionnalisme et leur engagement sans faille dans la protection de nos concitoyens.

Source Web

8 février 2008 - Ouest-France Lorient

Les commandos de marine interviennent au large de l'Afrique

Le "Tonnerre", un bâtiment de la Marine nationale, a intercepté, jeudi, au large de la Guinée (côté Ouest de l’Afrique), un navire qui transportait des stupéfiants. Selon la préfecture maritime, 3,2 t de cocaïne ont été saisies. Les commandos de marine, basés à Lorient, ont prêté main-forte à l’équipage du "Tonnerre" pour mener à bien cette opération. Ils ont notamment récupéré les stupéfiants, qui avaient été jetés à la mer par les trafiquants. Ils ont ensuite pris le contrôle de leur bateau, un cargo de 47 m battant pavillon panaméen.

8 février 2008 - Reportage FR3 Bretagne

Format WMV - 2 Mo (clic droit - Enregistrez Sous)

8 février 2008 - Reportage France 2 - 20h

Format WMV - 1,2 Mo (clic droit - Enregistrez Sous)

8 février 2008 - Reportage TF1 - 20h

Format WMV - 1,2 Mo (clic droit - Enregistrez Sous)

8 février 2008 - La Tribune

Un navire transportant de la drogue intercepté au large de l'Afrique

Un navire battant pavillon panaméen, qui transportait de la drogue, a été intercepté par le bâtiment français de protection et de commandement "Tonnerre" au large des côtes africaines, a annoncé vendredi la préfecture maritime de l'Atlantique à Brest.

Selon un communiqué de la préfecture, l'équipage du navire intercepté jeudi -un cargo de type RORO de 480 tonnes mesurant 47m de long- "s'est dépêché de jeter à la mer un colis suspect", que les embarcations du "Tonnerre" sont parvenues à récupérer.

Le colis en question "contenait des ballots de produits stupéfiants représentant au total 3,2 tonnes" qui ont ensuite été "identifiés comme de la cocaïne", précise la préfecture, en soulignant que l'interception a eu lieu au sud-ouest de Conakry (Guinée) à environ 300km, à la suite d'une relocalisation par avion de patrouille maritime de la marine nationale. D'après elle, l'équipage était composé de neuf marins de diverses nationalités.

L'opération a été conduite par le bâtiment "Tonnerre", assurant une mission permanente de présence d'un bateau de la marine nationale à l'ouest des côtes de l'Afrique, sur ordre du préfet maritime de l'Atlantique. Le navire battant pavillon panaméen était "soupçonné de se livrer à du narcotrafic".

Pour cette interception qui a été menée avec l'accord des autorités panaméennes, une équipe de commandos marine est venue en renfort.

A l'heure actuelle, le cargo intercepté est "sous contrôle de l'équipage du Tonnerre". Les services diplomatiques français sont en contact avec les autorités panaméennes pour "établir les conditions du traitement judiciaire de cette affaire".

Selon la préfecture maritime de l'Atlantique, le "Tonnerre" s'est appuyé pour conduire cette opération sur la base de renseignements et sur sollicitation de l'OCRTIS (Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants) en accord avec le centre européen d'analyse et d'opérations contre le trafic maritime de stupéfiants. AP

Source Web

10 février 2008

Panamá autorise l’abordage du navire qui transportait de la drogue

Le gouvernement Panaméen a autorisé l’abordage d’un navire de commerce qui transportait 3 tonnes de drogue, qui a été arraisonné par la marine nationale dans le golfe de Guinée, a révélé samedi l’Autoridad Marítima de Panamá (AMP).

Les autorités françaises avaient demandé que Panamá renonce à sa souveraineté sur le "Junior", consacré au transport de marchandises diverses, pour le début de l’opération navale, dans le cadre de la convention de Vienne qui régit la navigation internationale.

La convention prévoir qu’un Etat puisse renoncer à sa souveraineté sur un navire qui arbore son pavillon, si sa participation à un trafic illicite est démontrer, afin d’accélérer le processus d’enquête maritime, policière et judiciaire.

Cependant, Panamá conservera la souveraineté du navire, jusqu’à la fin de l’enquête et que l’équipage ait été interrogé. Celui-ci est composé de 2 officiers Grecs, 6 marins Guinéens et un du Sierra Leone.

Source Web / Remerciements Portail des Sous-marins

11 février 2008 - AFP

Saisie de drogue: le Panama renonce à sa compétence juridictionnelle

BREST, 11 février 2008 (AFP) - Le Panama a renoncé à sa compétence juridictionnelle sur le navire Junior, arraisonné jeudi par la marine nationale française dans les eaux internationales du golfe de Guinée avec trois tonnes de cocaïne à son bord, a annoncé lundi la préfecture maritime de l'Atlantique.

Le 7 février, le bâtiment de projection et de commandement Tonnerre renforcé par une équipe de commandos marine a intercepté le Junior, un navire battant pavillon panaméen qui se rendait apparemment du Brésil vers Alger, avec à son bord 107 caisses de 30 kg de cocaïne, soit au total 3,2 tonnes.

Les autorités panaméennes ayant informé samedi les autorités françaises qu'elles renonçaient à leur compétence juridictionnelle sur le navire Junior, son équipage et sa cargaison, la justice française devient compétente, a indiqué à l'AFP un porte-parole de la préfecture maritime.

Dans le cas d'un refus du Panama, le navire, affrété par des Grecs, son équipage et l'ensemble de la cargaison auraient dû être rendus à ce pays. La préfecture maritime a annoncé que le Junior serait "accompagné jusqu'à Brest qu'il devrait atteindre dans une vingtaine de jours", sous escorte du Tonnerre puis du remorqueur Rari de la marine nationale.

Le Junior, sous le contrôle du Tonnerre, se trouve lundi à une soixantaine de kilomètres au sud de Dakar (Sénégal).

L'opération avait été conduite "sur la base de renseignements et sur sollicitation de l'OCRTIS (office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants) en accord avec le centre européen d'analyse et d'opérations contre le trafic maritime de stupéfiants (MAOC-N Maritime Analysis Operation Center - Narcotics)", selon la même source.

Copyright AFP

12 février 2008 - Ouest-France Brest

Nouveau coup porté par la Marine contre les narcotrafiquants : le Tonnerre a arraisonné un cargo avec 3 tonnes de cocaïne au large de la Guinée. Le convoi fait route vers Brest.

Et de 5 ! Plus de cinq tonnes de cocaïne saisies par la Marine nationale française en un peu plus d'une semaine au large des côtes de l'Afrique de l'ouest. Le tableau de chasse du Tonnerre, le bâtiment de projection et de commandement, commence à être impressionnant.

Le 29 janvier, il avait arraisonné, au large du Libéria, un navire de pêche, le Blue Atlantic, avec 2,4 à 2,5 tonnes de cocaïne. Le navire, sa cargaison et les neuf marins ghanéens ont été remis aux autorités du Libéria.

Et voilà que le Tonnerre vient à nouveau d'intercepter une très grosse livraison de cocaïne. Et cette fois, le navire intercepté par les commandos Marine, un cargo de type ro-ro, le Junior, transportait trois tonnes de cocaïne. C'est la seconde plus importante prise de cocaïne effectuée par la Marine française depuis novembre 2006 (4,3 tonnes sur un cargo dans les Antilles).

L'arraisonnement a eu lieu jeudi au large de la Guinée, dans les eaux internationales. La France a agi dans le cadre de la coopération internationale contre le trafic de drogue par voie maritime (convention de Vienne de 1988). Il s'agissait d'une opération conduite sur la base de renseignements et sur sollicitation de l'OCRTIS (Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants) en accord avec le Centre européen d'analyse et d'opérations contre le trafic maritime de stupéfiants (MAOC-N Maritime Analysis Operation Center - Narcotics).

Le Junior bat pavillon de Panama. Contacté par la France, le Panama a renoncé à sa compétence juridictionnelle et a demandé à la France d'exercer les poursuites.

Le cargo, ses 3 tonnes de drogue et son équipage vont donc être déroutés vers le port de Brest.

Comme le Winner

L'interception du Junior ressemble, par beaucoup d'aspects, à celle du Winner. En juin 2002, la Marine avait intercepté ce cargo supposé transporter 2 tonnes de cocaïne. Mais l'équipage avait jeté par-dessus bord la drogue et seulement 90 kg avaient pu être repêchés.

Le Winner était affrété par des Grecs. Le commandant était Grec. C'est aussi le cas du Junior. Le commandant et son second sont Grecs ; les sept autres marins sont originaires de divers pays africains.

L'armateur et le propriétaire du Junior, vieux cargo de 30 ans, sont une société grecque, la Seascape Mgmt, basée à Athènes. Ce sont d'ailleurs les garde-côtes grecs qui, voilà plusieurs mois, ont mis sous surveillance étroite le Junior, en alertant aussi la DEA américaine.

Selon les garde-côtes grecs, le Junior avait chargé une cargaison en Grèce. Mais il arrivait du Brésil et lors de son arraisonnement, il faisait route vers l'Algérie.

Selon le ministre grec de la Marine marchande, un des membres de l'équipage avait déjà été arrêté par les Espagnols en 1995, sur un tanker transportant 2,7 tonnes de cocaïne.

Yannick GUÉRIN.

Ouest-France - Brest - Net

13 février 2008 - Le Télégramme de Brest

25 février 2008 - Télégramme de Brest

Saisie de 3,2 t de cocaïne. Le cargo attendu ce matin à Brest

Un convoi exceptionnel est attendu ce matin, dans le port militaire de Brest. Le 7 février dernier, au large de la Guinée, le navire de la Marine nationale le Tonnerre, basé à Toulon, a intercepté un cargo battant pavillon panaméen, le Junior. À son bord, les militaires ont retrouvé une quantité record de 3,2 t de cocaïne.

Deux jours plus tard, les autorités panaméennes annonçaient qu’elles renonçaient à leur compétence juridictionnelle sur le navire, sa cargaison et son équipage. Le convoi a donc mis le cap sur Brest. Les membres d’équipage devraient être placés en garde à vue dès leur débarquement. Le parquet aura alors quatre jours pour décider des suites judiciaires les concernant. Quant au Junior, il rejoindra le Winner, un autre cargo arraisonné en 2002 pour trafic de drogue, dans la rade-abri, à quelques encablures de l’ex-Clem et de l’Ocean Jasper. À noter que le 2 novembre dernier, un autre bâtiment de la Marine, le Germinal, avait arraisonné un voilier de 15 m, au large des côtes de la Guyane. Il transportait 1,5 tonne de cocaïne.

Source Web

25 février 2008

Reportage FR3 Brest / Arrivée du Junior à Brest

Format WMV - 3 Mo

25 février 2008

Journal TF1 - 20h - Reportage Brest / Arrivée du Junior

Format WMV - 4 Mo

26 février 2008

Le Junior et ses 3,2 tonnes de cocaïne

Les neuf marins sont en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire. L'enquête devra établir leur degré d'implication dans le trafic de 3,2 tonnes de cocaïne.

Le procureur de la République, Xavier Tarabeux, a confié à l'Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants (OCTRIS) l'enquête sur le trafic de 3,2 tonnes de cocaïne découvertes à bord du Junior.

Dès l'arrivée du navire, les neuf marins ont été conduits, sous bonne escorte, dans les locaux de l'antenne brestoise de la police judiciaire. Les neuf hommes sont deux Grecs, le commandant et son second, six Sierra-Léonais et un Guinéen.

« L'enquête devra déterminer quel est le degré d'implication de chacun », expliquait, hier, le procureur, lors d'une conférence de presse sur le Rari, le remorqueur qui a escorté le Junior depuis le large des côtes de l'Afrique de l'ouest jusqu'à Brest.

Dispositif de largage

Si l'importation illicite de la cocaïne est le fait d'une bande organisée - ce qui est presque évident en raison de la quantité saisie et de la logistique nécessaire -, l'enquête deviendrait alors de la compétence de la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Rennes. L'équipage serait alors jugé par la cour d'assises spéciale. Les autorités françaises n'ont pas confirmé si le propriétaire du navire, un Grec, avait été interpellé.

La drogue, conditionnée dans 107 caisses de 30 kg, a été débarquée du remorqueur et stockée dans un lieu tenu secret. Des prélèvements vont être effectués dans le cadre de l'enquête. La cocaïne sera ensuite détruite par incinération. La valeur de la drogue est difficile à estimer avec une telle quantité. À la revente en France, le kilo de cocaïne vaut environs 30 000 €.

L'arraisonnement du Junior, le 7 février, dans les eaux internationales au large de la Guinée s'est effectué sans incident. « La drogue était stockée sur le pont, a indiqué le préfet maritime, Xavier Rolin. Il y avait un dispositif de largage rapide en cas d'arraisonnement. L'équipage s'en est servi mais le Tonnerre est intervenu assez rapidement pour empêcher la disparition de la cocaïne. »

Le Junior était dans le collimateur depuis janvier. Les garde-côtes grecs l'avaient signalé au Maritime Analysis and Operations Center -Narcotics (MAOC-N), le tout nouveau centre de renseignement basé au Portugal. Ce centre a été mis sur pied par la France, l'Espagne, le Portugal, l'Irlande, les Pays-Bas, l'Italie et le Royaume-Uni.

La présence militaire de la France, avec le Tonnerre en mission permanente au large de l'Afrique de l'Ouest, a été déterminante pour l'arraisonnement du Junior et, dix jours avant, du Blue Atlantic (2,2 tonnes de cocaïne saisies). « Notre but, c'est d'arrêter les livraisons au plus près des sources », confiait le directeur adjoint de l'Octris. Les sources viennent de perdre 5,5 tonnes en quelques jours.

Yannick GUÉRIN. Ouest-France

29 février 2008

Extrait du Blog du RARI qui a escorté le JUNIOR à BREST

Bonjour à tous, le RARI est de retour à Brest depuis hier lundi 25 après 21 jours de traversée depuis Sainte Lucie notre dernière escale (2 et 3 février).

Un début de transit difficile  dés l'appareillage de Castries avec des alizés établis à 35 noeuds et une mer forte et ce pendant 5 jours.

Peu de temps aprés, le RARI a été mis en "préchauffage " pour escorter et dérouter le JUNIOR, navire ayant été intercepté par le TONNERRE  pour trafic de cocaïne.

L'escale de Mindelo s'est résumée à une escale technique de quelques heures, juste le temps de ravitailler en gazole, eau et vivres.

le 14 février, la suite était passée avec le Tonnerre, et nous avons commencé notre transit vers Brest  avec le Junior; le RARI étant chargé de la sûreté, de la sécurité et du soutien logistique du Junior.

 6 membres d'équipage du RARI ont ainsi été mis en place sur le Junior afin d'en assurer la conduite ( 2 chefs de quart, 2 mécaniciens, 2 manoeuvriers).

12 membres du GIR assuraient la garde et le contrôle de l'équipage du Junior.

L'escale de Lisbonne fut donc aussi annulée et c'est après 11 jours de transit que nous avons atteint Brest lundi matin à 1000.

Mission accomplie pour le Rari avec un hommage particulier aux marins mis en place sur le Junior, qui ont pendant 11 jours assuré le conduite du Junior et la garde de l'équipage du Junior dans des conditions de vie pas toujours faciles.

Mention particulière aux mécaniciens qui ont su faire preuve d'ingéniosité et d'intelligence pour maintenir la machine disponible malgré plusieurs  avaries ("Force et Honneur " au SM Boix ET QM Delorme)

Voila , cette mission de 4 mois 1/2 se termine, et demain mercredi, les membres d'équipage pourront jouir de quelques jours de vacances bien méritées jusqu'au 10 mars en attendant la suite des événements ..... à bientôt

Source web

8 mars 2008 - Cols Bleus

Remerciements Dominique Duriez

 

 

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